Pascale Pénellon - kinésiologue Avignon - Vaucluse
conceptrice et formatrice de stages K.I.E.S.
(Kinésiologie Intention Et Sens)

actualités kinésiologie - pratiques et témoignages"Se connaitre et se libérer de ce qui nous entrave"

au dela du mental Pascale Penellon - kinésiologie et subconscient

psychogénéalogie et kinésiologie

La psychogénéalogie devient connue et reconnue dans le monde de la thérapie. A présent phénomène de mode, il aura fallu deux dizaines d’années après la publication du livre « Aie mes aïeux ! » de Anne Ancelin Schützenberger, pour que la France découvre l’impact des mémoires héritées de nos ancêtres. "Thérapie transgénérationnelle psychogénéalogique contextuelle", ce livre s'inscrivait, en 1993, comme un livre pionnier et parmi les toutes récentes recherches en psychothérapie intégrative.

Les moutons noirs de la famille - Dépasser les lois familiales

« Vous êtes le rêve de tous vos ancêtres. »

- Bert Hellingerhttp://lesconstellationsfamiliales.ca/bert-hellinger/

moutons noirs famille

mouton noir famille

La transgression est nécessaire comme moteur d’évolution et les moutons noirs sont en fait les libérateurs. Ils allègent l’arbre généalogique. Les moutons noirs de la famille sont les personnes qui sortent des sentiers battus car ils cherchent à comprendre, à se libérer et ils trouvent des solutions ailleurs, hors des pistes habituelles. Ils expérimentent autrement et cela les amènent dans un champ nouveau d’expériences et de prises de conscience.

Ils cherchent à révolutionner les croyances de la famille. Ce sont ceux qui sont catalogués dans la rubrique des originaux et sont souvent rejetés. Ils mettent à mal la tradition familiale.

Ils se sont incarnés dans cette famille pour permettre un allégement du programme inconscient qui se répète à travers les générations. Ainsi, ils créent autre chose pour les générations à venir. Nous sommes tributaires de ce que nos ancêtres ont vécu et jusqu’où l’impact peut-il aller dans la vie des générations qui suivent ?

« Tout se passe  alors comme si deux chemins se croisaient, se superposaient un temps, celui de notre Moi et celui de notre famille terrestre dans laquelle on a choisi de s’incarner. Un parcours alors jalonné probablement d’impondérables, mais aussi le choix libre de la façon dont on le traverse. » - Gérald Lamy

C’est là où nous avons la liberté de changer les probables blocages qui nous empêchent d’être libres de créer sa propre vie, faire ses propres choix.

L’impact des mémoires trangénérationnelles en nous sur la santé

C’est là où des réactions fusent dans le monde médical. On ne parle pas de l’impact des mémoires trangénérationelles sur la santé, c’est interdit. Déjà qu’ils ont beaucoup de difficultés avec la maladie physique et ne sachant pas quoi dire, ils utilisent le joker avec la phrase : "c’est psycho-émotionnel, détendez-vous !" Bon, régulièrement ils disent que c’est psychique, mais leurs analyses s’arrêtent là.

Une journaliste qui vient de faire un véritable succès avec son livre qui témoigne entre autres, de l’impact des histoires douloureuses des ancêtres sur l’impossibilité d’une grossesse pour les descendantes, vient d’être interdite d’émission télévisée, car une annulation tombe au dernier moment. Bon je ne dis rien mais Platon doit toujours se retourner dans sa tombe même s’il ne parlait pas de l’impact intergénérationnel mais bien du lien corps/âme/esprit sur la santé. « On ne peut guérir le corps si nous ne nous occupons pas de l’esprit et de l’âme ». Faisant écho au témoignage de cette journaliste sur le transgénérationnel, j’ai le bonheur de voir des femmes devenir enceinte juste après une séance qui avait comme objectif un désir d’enfants, lorsque les traitements classiques n’ont pas eu les résultats escomptés. 

N’oublions pas que le médical avec les analyses, les machines pour investiguer le corps et les laboratoires de médicaments, est une industrie, même si je suis admirative du travail d’investigation qu’ils peuvent faire pour nous soigner. Mais chercher à comprendre le sens, les racine de la maladie : trop simple, pas assez rentable. Tout est balayé d’un revers de main, là aussi ! Si nous pouvions œuvrer ensemble, quel beau travail pour une plus belle humanité, qui aurait une meilleure santé !

Et pourtant avec plus d’humilité, les sciences officielles et les médecins sauraient que nous sommes liés par une histoire commune avec nos arbres généalogiques et que tout ce qui n’a pas été « guéri » chez nos ancêtres peut être des dossiers, à résoudre dans la vie de leurs descendants. Et que l’impact peut être considérable !  

Les découvertes sur les mémoires traumatiques

Des découvertes faites par une équipe de chercheurs à l’université de Genève mettent en évidence une mémoire d’un traumatisme sur trois générations avec un travail sur le génome.
La petite fille, n’ayant pas vécu le choc de l’inceste porte la plus grande trace par rapport à sa mère et sa grand-mère, une trace biologique dans son ADN. Etude faite avec une prise de sang qui démontre la cicatrice mesurable du gène impliqué. Cette découverte devrait révolutionner la compréhension de l’héritage transgénérationnel. Source : voir la vidéo générale du blog.

Mes expériences en kinésiologie

Voici mes observations renouvelées lors de mes séances, un certain nombre de fois, à l’occasion d’une difficulté pour une femme d’être enceinte.

L’association du mot Enfant avec le mot Danger va impacter les mémoires et créer un blocage inconscient sur les descendants. Avoir un enfant égal danger ! Notre biologie ne fait pas la différence entre une mémoire héritée et un évènement personnel. Voilà une combinaison très courante qui traîne dans l’arbre et qui peut empêcher une grossesse. La descendance comme dans un programme d’ordinateur, garde cette injonction de façon inconsciente, bien évidement. Pourquoi ces deux mots sont-ils associés ? Il fût un temps où une grossesse représentait un danger chez une ascendante. Imaginez un temps de guerre, une famille nombreuse, un manque de nourriture, un surcroit de travail pour la mère de famille si sa famille s’agrandit, une tromperie avec le voisin, une mémoire de souffrance en lien avec un enfant... Cela peut induire dans l’arbre, dans lequel nous nous installons en tant que descendant, un blocage pour connaître la joie d’attendre un enfant, dans la descendance.

Les mémoires trangénérationnelles ont de nombreux impacts. Elles peuvent être d’ordre physique, tels l’impact des secrets familiaux, des interdictions à divulguer, à voir, à entendre, à dire et tout cela peut engendrer des blocages dans les générations à venir. Cela devient un langage déformé dans un symptôme qui parle à la place des non-dits.

Elles peuvent être des compensations à travers un besoin de sucre, donc de douceurs, donc une maladie. Au niveau émotionnel, nous retrouvons chez les descendants, des émotions exagérées de peurs de toutes sortes, des peurs de manquer, de se retrouver exclus de la société, des mémoires d’ancêtres chassés de leur territoire à la suite d’une guerre ou partis d’une terre qui ne les nourrissaient pas.

Tout ce qui a été profondément meurtri et dévalorisé chez les ancêtres peut être inscrit dans nos gênes. Une mémoire stockée en nous dont nous devons nous libérer afin d’aller bien et pour retrouver notre bien-être. Notre souveraineté en tant qu’individus libres de toute implication de la souffrance de l’arbre en nous !

Le premier cadeau des ancêtres, notre présence !

Nos ancêtres sont à honorer comme pierre à l’édifice qui nous sommes. N’oublions pas que nos ancêtres nous ont légués de belles forces, de nombreux savoir-faire et nos racines sont d’autant plus fortes qu’ils ont existé et ont survécu dans des conditions souvent difficiles, ce sont leurs nombreux cadeaux.

Le fait de s’inscrire dans un arbre généalogique n’est pas une fatalité, juste un terrain à transmuter pour les générations à venir, pour honorer également leurs vies en faisant une habile conversion.

mémoires transgénérationnelles

La kinésiologie au service de la psychogénéalogie

La formation K.I.E.S. propose de faire un voyage au pays de nos ancêtres. Ces mémoires qui nous conditionnent sont retrouvées et libérées afin que notre parcours de vie soit allégé. Nous l’abordons dans le stage 3, « Estime de soi, déployez son potentiel » et nous y plongeons pendant deux jours avec le stage 6, « La psychogénéalogie, ces mémoires qui nous limitent ».

J’ai créé un protocole qui permet de retrouver avec une grande précision les mémoires héritées et dont on se passerait bien ! Il s’agit là, de transmuter ces mémoires limitantes et alléger l’arbre pour les générations à venir.

Ces stages permettent de travailler sur les conséquences de nos valises, lourdes, car faites d’interdits, de souffrances, de culpabilités, d’évènements non digérés, de deuils non faits et de secret de famille. Ces mémoires restent en nous, comme autant de limitations imposées.

Gardons le meilleur de nos arbres ! Allégeons-nous des souffrances traversées par nos ancêtres car nous en gardons des traces, elles causent des limitations dans notre vie au quotidien !