Pascale Pénellon - kinésiologue Avignon - Vaucluse
conceptrice et formatrice de stages K.I.E.S.
(Kinésiologie Intention Et Sens)

actualités kinésiologie - pratiques et témoignages"Se connaitre et se libérer de ce qui nous entrave"

au dela du mental Pascale Penellon - kinésiologie et subconscient

L’incompréhension

changer ses croyances avec la kinésiologie"Quand les gens trouvent enfin comment sortir des miasmes de leurs pensées désordonnées et réactions émotionnelles, ils découvrent qu’ils viennent de trouver l’unique et véritable voie menant au bonheur… Ils ont réussi à se dégager des habitudes mentales et émotionnelles qui leur attiraient jusque-là des situations de douleur et d’infortune." - Les lettres du Christ

Que dire de notre monde si ce n’est qu’il est le résultat de notre création ! Création individuelle et collective.
Et si l’amour fait peur, c’est que nous connaissons uniquement la souffrance qu’il occasionne à travers nos échecs amoureux personnels, l’amour maladroit de nos parents, ou l’absence de leur amour.
Et le mental, tiens ! Parlons-en de lui, c’est lui qui nous phagocyte avec ses croyances limitantes, apprises et répétées avec lesquelles nous n’inventons pas notre vie.

Mon métier de kinésiologue me permet d’en faire l’expérience au quotidien, comme autant de limites en chacun de nous. Comme un ordinateur, nous expérimentons la vie en fonction de nos croyances sous la forme de « dossiers » et créons les expériences qui viennent en écho, en fonction du programme enclenché. La suite de nos actions dépend donc de ce que notre cerveau a enregistré auparavant. Une loi implacable de cause à effet, nous ramène à ce que nous aurions bien besoin de conscientiser et qu’il serait préférable de changer.

Si notre cerveau possède un bouton « supprimer » et que nos cellules gliales1 sont les nettoyeuses du cerveau, il serait bon d’actionner le bouton pour envoyer à la corbeille les programmes qui nous desservent. Si nous attirons des évènements et des relations en fonction des créations vibratoires de notre « machinerie » interne, au travers du jeu de nos rencontres le jour et de nos rêves la nuit, il y a toujours, disponible, une invitation à comprendre qui nous sommes. Il y a en toutes circonstances une occasion de nous ouvrir à notre véritable dimension.
La kinésiologie permet de prendre conscience des freins de nos croyances inconscientes.
1 Cellules gliales : appelées familièrement cellules « éboueurs » du cerveau.

changer ses croyances kinesiologie

Comment se forment ces croyances ?

Exemple de séance :

Lucie vient faire une séance de kinésiologie avec une demande claire, elle est bien consciente de ses limitations et elle sait que nous créons notre vie en fonction de l’estime que nous avons pour nous-mêmes.
— « J’ai pris conscience que je m’interdis le plaisir. Je ne m’autorise pas à être qui je suis. »
Nous cherchons l’objectif le plus judicieux pour la séance. Si elle sait que ses croyances formatent ses expériences de vie, malgré tout, Lucie se rend compte qu’elle se limite dans son rôle de metteur en scène. Il en ressort des échecs cuisants et des dettes à cause de ses investissements financiers importants pour chaque pièce de théâtre qu’elle monte. Le talent n’est pas absent, bien au contraire, Lucie a une intelligence sensible et un réel savoir-faire mais elle ne récolte pas la reconnaissance pourtant méritée. Les journalistes et les potentiels acheteurs de la pièce ne se déplacent pas.

A moi, à présent, d’investiguer avec le test musculaire pour non seulement connaître ce qui l’en empêche mais aussi pour rééquilibrer les énergies de Lucie afin qu’elle se rapproche de son objectif.
La première information vient de son arbre généalogique : l’héritage négatif des générations précédentes, qui lui signifie l’impossibilité de sortir de sa condition qui se traduit par une sorte de loi familiale : « Sois raisonnable et subis comme nous, ton existence ».

Nous corrigeons l’impact de la mémoire, mais déjà, nous trouvons une nouvelle limitation pour atteindre son objectif : le fameux bibliothécaire qui surveille la ligne rouge afin qu’elle ne sorte pas de la zone de confort de ses habitudes, qu’elle trouve, par ailleurs, d’un confort très discutable. Quelle est la forme précise de la croyance qui suit : « Vivre dans un monde hostile » ?

L’anonymat est bien moins dangereux. Ici, l’éclairage donné par la peur, quitte à vivre des frustrations immenses et des soucis d’argent, ce n’est rien encore, en comparaison des risques que la célébrité pourrait lui faire encourir avec une telle croyance ! Nous trouvons encore une autre limitation, véhiculée également par ses ancêtres, qui confirme son impression de sabotage : « Je n’ai pas le droit au plaisir ».
Pour Lucie, le plaisir c’est donc : niet, nada, in-ter-dit !
A la place d’une source vive de plaisir, nous avons cette phrase, tel un implant hypnotique martelé par des siècles d’expériences humaines : « Je dois me faire du souci pour obtenir ce dont j’ai besoin ».
On ne crée rien de positif avec toutes ces croyances.
A suivre…